Danielle Poliautre, Présidente de l’EDA (Environnement et Développement Alternatif) est poursuivie en diffamation par Métaleurop suite à un article dans le journal de son association, où elle mettait en cause l’attitude de cette société vis-à-vis de la population (à l’intérieur comme à l’extérieur de l’entreprise), ainsi que la lenteur des pouvoirs publics à prévenir et réparer les dégâts causés à la santé humaine.

Métaleurop a toujours refusé le dialogue. Sa seule réponse aujourd’hui c’est la poursuite judiciaire, pour essayer de décourager les associations qui mènent une lutte difficile défendre le droit à la santé contre des lobbys industriels.

Un comté de soutien a été créé


Article paru dans le Bulletin de l’Andeva N°6 (février 2000)