L’ANDEVA et ses associations locales ont connu un développement considérable. Elles doivent maintenant relever de nouveaux défis.

Une assemblée générale est toujours un moment fort de la vie de
l’association.
On y débat collectivement du bilan et des perspectives. Mais c’est aussi un lieu où l’on peut témoigner de son vécu, dire sa souffrance et sa
colère.

A l’ordre du jour le rapport d’activité présenté par François Desriaux, qui retrace l’activité de l’ANDEVA depuis la dernière assemblée générale en juin 2001. Une activité plutôt chargée avec la manifestation commune avec la FNATH le 29 septembre, les multiples batailles judiciaires, la pétition nationale sur la cessation anticipée d’activité et l’élargissement du dispositif aux victimes de plaques pleurales, le bouleversement de la jurisprudence provoqué par les arrêts de la cour de Cassation, les évolutions de la réglementation sur la prévention du risque amiante, les débats autour de la relance du suivi médical post-professionnel dans quatre régions pilotes, et bien entendu toutes les batailles menées autour de la mise en place du FIVA.

En discussion aussi les problèmes de moyens et d’organisation posés par le formidable développement des associations du réseau ANDEVA.

Comme dans toute assemblée générale il y a le rapport financier. L’Association a connu des moments difficiles. Aujourd’hui sa situation financière est saine. D’où un débat sur le partage des cotisations entre l’ANDEVA et les associations locales.

A l’ordre du jour aussi l’élection d’un nouveau conseil d’administration.

En fin de séance : un débat général sur la situation et sur les perspectives de l’association, avec en bonne place la réparation intégrale des préjudices des victimes de l’amiante et de toutes les victimes du travail.


Article paru dans le bulletin de l’ANDEVA N°10 (octobre 2002)