« On ne peut jamais vous avoir au téléphone »

Beaucoup d’adhérents ont du mal à nous joindre. Certains ont des réponses tardives à leurs demandes. La situation est simple : le nombre de dossiers, d’appels, de lettres, de visites a littéralement explosé. Les moyens n’ont pas suivi.
Deux salariées (Hélène Boulot et Carine Toutain) et une poignée de bénévoles de choc pour gérer l’ANDEVA au quotidien, assurer le suivi
direct d’un millier de dossiers, et faire le lien avec 25 associations qui en suivent plus de 5000, ce n’était plus tenable.
L’embauche d’une autre personne, et une ligne téléphonique supplémentaire devraient, nous l’espérons, améliorer la situation.


Article paru dans le bulletin de l’ANDEVA N°10 (octobre 2002)