Jusqu’à présent le Fiva se prononçait (sauf problème particulier) sur la base d’une appréciation du dossier médical.
Cette méthode était conforme aux principes qui avaient présidé à sa création : une procédure rapide et simplifiée d’indemnisation.
Or, depuis quelques temps les expertises se multiplient, même pour des cas simples tels que des plaques pleurales sans déficit respiratoire.
Fait curieux : cela ne se produit que dans les régions dont les cours d’appel ont majoré les indemnités FIVA.
On quitte le terrain médical pour s’engager sur celui des grandes manœuvres politiques.
Il est grand temps de dire : stop.


Article paru dans le Bulletin de l’Andeva N°14 (octobre 2004)