Le ministère avait proposé à la Fnath et à l’Andeva d’être entendues par un groupe de travail avant la conférence nationale sur les conditions de travail. Les deux associations revendiquaient une participation « à part entière, au même titre que les partenaires sociaux ».

Elles ont refusé le « strapontin » proposé. En matière de prévention et de réparation des risques professionnels, les victimes ont leur mot à dire. L’accord signé entre trois organisations syndicales et le patronat montre « le danger de laisser ce champ aux seuls partenaires sociaux ».

La Fnath et l’Andeva seront dans la rue le 13 octobre ...


Article paru dans le Bulletin de l’Andeva N°24 (septembre 2007)