Plus de 40 pays ont interdit l’amiante chrysotile dans le monde.
Un consensus scientifique est solidement établi sur la toxicité de l’amiante chrysotile et sur le fait que des expositions faibles ou sporadiques peuvent provoquer des mésothéliomes.

L’épidémiologie et l’hygiène industrielle confirment qu’il est illusoire de penser contrôler un produit répandu en masse dans les matériaux de construction.

L’organisation Mondiale de la Santé (OMS), le Bureau International du Travail (BIT) recommandent sans ambiguïté l’interdiction et le remplacement de l’amiante.

Même l’Organisation Mondiale du Commerce a reconnu que l’interdiction de l’amiante était une mesure adéquate pour sauvegarder la santé humaine.

La politique criminelle du gouvernement canadien est comprise et rejetée publiquement par de nombreuses personnalités du monde scientifique de ce pays.

Le Canada doit cesser d’exporter la mort un peu partout sur la planète.


Article paru dans le Bulletin de l’Andeva n°29 (avril 2009)