PRIVAS (9 novembre) :

L’Aldeva 26, le Caper Nord Isère, le Caper Ardèche et la Fnath 26-07 se retrouvent devant le Tribunal, où sont plaidées deux actions en faute inexcusable de l’employeur. « Il est de la responsabilité du gouvernement de tout mettre en œuvre pour que les vrais responsables soient jugés », a déclaré Michel Dorel, président de l’Aldeva 26, qui a dénoncé la médiocrité du montant des indemnisations accordées en Ardèche, « l’un des plus bas de France ».


DAMMARIE-LES-LYS

Une foule nombreuse et émue pour inaugurer la stèle en hommage aux victimes. Madeleine Savaris, présidente de l’Ardeva 77 demanda que les responsables soient jugés au pénal.


CHARLEVILLE (24 novembre) :

Lors du passage de 25 dossiers (faute inexcusable et rappel de rente) a lieu un rassemblement devant le tribunal contre la suppression du juge d’instruction et le maintien de son indépendance.


DUNKERQUE (17 novembre et 15 décembre) :

18ème et 19ème marche des veuves et victimes de l’amiante
Manque de moyens des juges d’instruction, promesses non tenues, menaces sur le juge d’instruction…
Elles ont repris leurs marches. En tête du cortège, les photos des maris sur des fauteuils roulants, pour faire ressentir le vide de l’absence. Des associations de l’Andeva viennent à Dunkerque marquer leur solidarité.


SAINT-NAZAIRE (10 décembre) :

Le jour où s’ouvre le procès de Turin, un millier de personnes manifestent avec l’Addeva 44. « En Italie, l’instruction a commencé il y a 5 ans ; en France il y a plus de 14 ans. Nous voulons un procès pénal, vite ! » a déclaré Roland Hottelard, président de l’association, qui a aussi dénoncé la fiscalisation des indemnités journalières : « il est petit et lâche de faire payer les plus faibles d’entre nous. »


Article paru dans le Bulletin de l’Andeva n°31 (décembre 2009)