L’arrêt de la cour de cassation a ouvert la voie à l’examen par les prud’hommes des conditions de travail de tous les salariés exposés à des produits dangereux à effet différé et tout particulièrement aux cancérogènes, mutagènes et reprotoxiques (CMR). Ces dossiers seront sans doute plus difficiles à monter que ceux des salariés exposés à l’amiante, mais ils ont des chances non négligeables d’aboutir.


Article paru dans le bullein de l’Andeva n°35 (avril 2011)