En 1992, une note du ministère des Affaires étrangères qualifiait d’intenable la position française selon laquelle «  l’amiante doit pouvoir continuer à être fabriqué et vendu.  »

«  l’amiante provoque des maladies mortelles et a déjà fait suffisamment de victimes. Tout argument ne prenant pas en compte cet impératif de santé publique est inacceptable. Or le contrôle total des poussières d’amiante relève de l’utopie  », écrivait l’auteur de cette note. Ses destinataires peuvent-ils dire qu’ils «  ne savaient pas » ?


Article paru dans le bulletin de l’Andeva n°42 (avril 2013)