Depakine, Distilbène
Des victimes témoignent

En novembre dernier, après un téléfilm, deux femmes ont témoigné sur l’A2. L’une a donné naissance à une fille handicapée, parce qu’elle avait pris de la Dépakine, un anti-épileptique de Sanofi, durant sa grossesse. L’autre a vu mourir deux de ses enfants parce que sa mère avait pris du Distilbène, dont les effets tératogènes se transmettent sur trois générations.

Des témoignages très forts, à l’opposé de la langue de bois et de l’autojustification d’un représentant de l’industrie du médicament et d’un responsable de la pharmacovigilance.

http://www.apesac.org/

http://www.des-france.org/accueil/index.php


Indemniser toutes les victimes

Le 29 août dernier, plusieurs associations de victimes ont salué l’annonce par le gouvernement sur l’indemnisation de victimes de la Depakine, tout en l’appelant à ne plus réagir à chaque drame sanitaire par un dispositif ad hoc.
Elles demandent la création d’un « véritable fonds ouvert à toutes les victimes d’effets indésirables graves de médicaments » financé par une taxe sur les médicaments.

lire le communiqué sur :
http://www.leciss.org/