L’usine Cello-Plastic avait été fermée en 2015 en laissant 41 ouvriers sur le carreau. Les machines avaient été vendues aux enchères et les bâtiments laissés à l’abandon.

Le propriétaire du terrain a confié les travaux de démolition de deux bâtiments à la société G3D qui les a sous-traités à Envirotech.

Selon le diagnostic, l’un contenait de l’amiante et l’autre non. Ce dernier a donc été démoli sans précaution particulière. Jusqu’au moment où des morceaux de flocages d’amiante (très friables) ont été découverts dans les débris, dont une partie avait déjà été évacuée sans précaution comme des déchets ordinaires..Retour ligne automatique
Les travaux ont été stoppés. L’inspecteur du travail est intervenu. Tous les personnels susceptibles d’avoir inhalé des fibres d’amiante ont fait l’objet d’une fiche d’exposition.

Pour les 200 à 300 tonnes de débris qui restaient à évacuer, un plan de retrait a été validé par l’inspecteur du travail. Ils doivent être acheminés vers une décharge agréée par un transporteur spécialisé.