Le 28 janvier, la Cour suprême du Japon a reconnu la responsabilité du gouvernement et des fabricants de matériaux de construction amiantés dans les maladies des anciens ouvriers du bâtiment de la préfecture occidentale de Kyoto.
Elle a validé la décision de la Haute Cour d’Osaka qui avait ordonné à l’État et à huit fabricants de matériaux de verser un total de 280 millions de yens en réparation des préjudices subis par 24 anciens travailleurs.
En décembre dernier cette responsabilité avait été reconnue pour d’anciens travailleurs de la région de Tokyo.
Article paru dans le Bulletin de l’Andeva n°65 (avril 2021)