Le droit au respect

La colère monte contre les pratiques de certaines caisses primaires à l’égard des victimes : lenteurs invraisemblables, refus sans motifs, sécheresse administrative, courriers incompréhensibles...

Quand c’est insupportable, on ne supporte plus. On agit pour que ça change.
Là où l’intervention individuelle d’un malade se heurte souvent à un mur d’inertie, l’action collective d’une association peut ouvrir des portes et bousculer la routine.

Nous savons que les salariés des caisses souffrent d’un manque d’effectif et parfois de formation. Les associations ne luttent pas contre eux. Elles demandent qu’ils aient plus de moyens pour traiter rapidement et humainement les dossiers.

Les victimes et leurs familles doivent être écoutées et respectées. Trop de malades décèdent encore sans savoir si leur maladie est ou non reconnue. Cela doit changer.


Articles parus dans le bulletin de l’ANDEVA N°10 (octobre 2002)