La société Variscan fait le forcing pour relancer l’ancienne mine de tungstène de Salau fermée depuis 30 ans.

Or le minerai contient de l’amiante (actinolite) de l’arsenic et de la silice.
Au milieu des années 1980, Henri Pézerat avait fait des analyses confirmant la présence d’actinolite (amphibole) dans le sol. et mis en garde contre le risque.

A cette époque, 14 cas de maladies professionnelles liées à l’amiante avaient déjà été identifiés chez des mineurs.

Les autorités sanitaires avaient été saisies d’une demande de suivi médical sysrtématique des mineurs.. Rien n’avait été fait.

Le lobby minier avance masqué, feignant de ne réclamer que des sondages géologiques. Mais l’intox bat déjà son plein avec la création d’une « association » ad hoc qui nie la présence d’amiante et soutient qu’avec des masques, l’air serait plus pur au fond de la mine qu’à l’extérieur !