L’étude « MAPS 1 », coordonnée par le Pr Gérard Zalcman associait l’Avastin à une chimiothérapie classique. Elle a amélioré la survie.

Une seconde étude (« MAPS 2 »), combinant l’Avastin et une immunothérapie moderne, coordonnée par le Pr Arnaud Scherpereel, a commencé au lendemain du colloque.