Depuis l’arrêt du 5 avril rendu par l’assemblée plénière de la Cour de cassation, la jurisprudence permet de prendre en compte le préjudice d’anxiété pour des travailleurs exposés à l’amiante, dont l’établissement n’est pas inscrit sur les listes.

C’est le cas des 39 cheminots de Marseille et de la SNCM, pour lesquels l’avocate générale a pris une position favorable à la reconnaissance d’un préjudice d’anxiété.