En 2020 sera mise en place une nouvelle organisation du dispositif de surveillance des mésothéliomes (DNSM).

Elle prévoit :
- une coordination renforcée des dispositifs existants : déclaration obligatoire à l’ARS (DO), experts anatomopathologistes du groupe Mésopath...

- l’extension de la surveillance épidémiologique à tous les sites du mésothéliome : la plèvre, le péritoine, le péricarde et la vaginale testiculaire,

- l’étude des facteurs de risque environnementaux,

- l’utilisation des connaissances issues du DNSM pour améliorer la prévention du risque amiante en milieu professionnel et en population générale,

- le suivi de la reconnaissance médico-sociale de cette maladie, pour améliorer le dispositif et mieux informer les personnes concernées.

Le PNSM ne couvrait qu’une vingtaine de départements. A quand une extension à tout le territoire national ?