Par exemple :

- quand une victime se heurte à un refus infondé du médecin conseil, qui ne veut pas reconnaître la maladie professionnelle parce qu’il est en désaccord avec le médecin traitant sur le diagnostic,
- quand la caisse primaire accorde un taux d’incapacité trop bas, qui ne tient pas compte de la perte de capacité respiratoire et ne respecte pas le barème de la Sécurité sociale,
- quand elle refuse à tort d’indemniser les ayants droit d’une victime décédée au motif que le décès serait dû à une autre cause que la maladie professionnelle causée par l’amiante.


Article paru dans le Bulletin de l’Andeva n°28 (janvier 2009)