Le président de la Ligue des Droits de l’Homme distribue un tract qui réclame que «  justice soit enfin rendue aux victimes de l’amiante et leurs proches » et déplore que « tout soit fait pour retarder la tenue du procès pénal ».

La Ligue considère que « la suppression du juge d’instruction au profit d’une enquête menée par le seul parquet, proposée par le chef de l’État, constitue la menace d’une des plus graves régressions en matière de droits de la défense et d’équilibre du procès pénal. »

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Article paru dans le bulletin de l’Andeva n°30 (septembre 2009)