Des interventions ont d’abord présenté la situation de chaque pays et tracé des perspectives dans une ambiance attentive et chaleureuse :
Bruno Pesce et Nicola Pondrano, pour l’association des familles de victimes de l’amiante (Afeva, ), Italie,
Pierre Pluta et Alain Bobbio, pour l’Andeva (France).
Laurie Kazan-Allen, pour le secrétariat international Ban Asbestos (IBAS), Grande-Bretagne,
Linda Reieinstn, Asbestos Disease Awareness Organisation (ADAO) et Barry Castleman, Etats-Unis,
Guadalupe Aguilar-Madrid, Unité de Recherche Santé- Travail, Mexique,
Fernanda Giannasi, Association des personnes exposées à l’amiante (Abrea), Roberto Caldas, avocat de l’Abrea et Paulo Martins, député de l’Etat de São Paulo, Brésil,
Un représentant de l’Union syndicale suisse (UNIA),
Antoine Di Ruzza, de la Fédération des Mutuelles de France
Juan Carlos Paúl, Association des victimes de l’amiante (Avida) et Carmen Mancheño, commissions ouvrières, Espagne,
L’après-midi, une table ronde d’avocats et de juristes d’Italie, de France et du Brésil, à laquelle participait Jean-Paul Teissonnière évoqua les problèmes de stratégie et d’adéquation du système pénal posés par les actions judiciaires à l’heure du procès de Turin.
Des organisations syndicales italiennes ont présenté les actions judiciaires après des accidents mortels.
En fin d’après-midi une manifestation internationale a eu lieu dans les rues de Casale jusqu’aux portes de l’usine Eternit.
Le soir a été projeté « Polvere » (poussière), film de Niccolo Bruna et Andrea PrandStraller sur le procès de Turin.
Le lendemain, des représentants des différents pays ont travaillé à l’élaboration d’une déclaration commune et deux motions.
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Article paru dans le bulletin de l’Andeva n°37 (septembre 2011)